Malia Julianiya
feat Sandrah Hellberg

► SURNOM : Félina
► ÂGE : 20 ans
► ORIGINES : Russe
► GROUPE : Les apprentis de la Confrérie
► ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro

► CARACTÈRE : Il y a encore quelques années, Malia était une jeune fille fraîche, agréable et qui osait toujours aller la première à la rencontre des autres. Mais depuis les temps ont changé. Tout a changé même. Rejetée par sa famille, la seule qui aurait pu l’aider et la soutenir dans sa mutation, Malia est devenue quelqu’un de solitaire qui ne supporte pas le regard des autres ni leur compagnie ; elle s’efforce d’ailleurs du mieux qu’elle peut de les fuir pour ne pas avoir à supporter leurs conversations inutiles et leurs querelles sans avenir. Le simple fait d’entendre les humains « normaux » parler des mutants comme s’ils étaient une erreur de la nature lui donne envie de passer ses doigts autour du cou de celui qui a fait la remarque et de resserrer son emprise d’un coup sec, histoire d’en avoir un en moins à supporter. Cynique et cruelle, elle adore jouer avec ses proies et les séduire avant de les isoler pour les laisser sans secours et plus faibles face à elle. Et oui le côté félin est omniprésent, ce qui à vrai dire ne la dérange absolument pas bien au contraire. Dotée d’un don de manipulation hors du commun, Malia ne s’en sert qu’en dernier recourt car elle n’aime pas gagner sans même avoir combattu, c’est un principe chez elle, toute confrontation et victoire doivent être méritées sinon elles ne valent rien. Sauvage et intelligente, elle a une sainte horreur de se faire commander surtout si c’est pour à terme faire n’importe quoi, ainsi elle ne suit que son propre instinct ce qui jusqu’à présent lui a plutôt bien réussi. Malia n’est pas non plus du genre à foncer tête baissée la première dans une histoire ou un lieu qu’elle ne connaît pas. Avant d’agir, la jeune fille a toujours l’habitude de peser le pour et le contre pour être certaine qu’elle n’y laissera pas sa peau.
On peut donc constater qu’il ne reste plus grand-chose de la jeune fille rayonnante et pleine de gaité qu’elle fut autrefois ou du moins c’est ce que l’on peut penser à première vue car pour tout vous dire, la générosité et la gentillesse de la jeune fille sont toujours présentes, là, quelque part, mais il faut creuser très profondément pour les retrouver puisque depuis plusieurs années déjà, Malia se donne un mal fou à rayer de son existence ce qu’elle était avant et ses qualités, qui pour elle ne sont qu’un désavantage, ont été les premières à se faire engloutir sous le poids du désir de vengeance et de tristesse que la jeune fille a ressenti lorsqu’on l’a abandonnée. Ainsi, mieux vaut pour vous de ne pas vous entraîner dans une telle aventure dans l’espoir que vous arriverez seul à faire ressurgir les quelques morceaux qui restent de bon en elle car vous allez perdre du temps pour rien, la jeune fille n'est pas prête de vous laisser jouez avec ses sentiments, ça c’est certain… Mais ne désespérez pas, il y aura toujours moyen pour vous de devenir son petit nounours et de lui tenir compagnie mais vous allez sans doute vous ennuyer car la jeune fille met des mois voir des années avant de s’ouvrir un tant soit peu aux autres qu’ils soient de la Confrérie ou des X-men et pire pour les citadins. Cependant, quand vous avez sa confiance inutile de vous dire qu’il ne vaut mieux pas la trahir sinon elle peut se montrer extrêmement méchante et agressive surtout pour ceux qui l’ont profondément déçue. L’amitié et la confiance, sont selon elle deux choses qui ne se donnent qu’une fois alors tâchez de vous en souvenir…
En somme, Malia est donc une jeune femme plutôt indépendante, sauvage et très irritable qui peut se faire détester comme aimer par les autres. Sachez juste trouver la bonne mesure pour pouvoir l’approcher et peut-être en faire une amie ou du moins une collègue…

► SIGNE(S) PARTICULIER(S) : Même si à première vue, son tic peut paraître invisible et banal, pour Malia il est vraiment insupportable et indomptable. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé de le freiner. En effet, à chaque fois que la jeune fille croise quelqu’un, qu’elle connaisse ou non cette personne, Malia n’arrive pas à se contrôler et fait jouer de son odorat pour savoir d’où vient son interlocuteur et s’il dégage l’odeur du sang. Extrêmement méfiante, c’est sûrement à cause de cette facette de sa personnalité que cette mauvaise habitude s’est développée. Cependant, si c’était sensé lui apporter un sentiment de sécurité, il n’en est rien, puisqu’à chaque fois qu’elle sent quelqu’un s’approcher d’elle, elle panique car elle sait que dans quelques minutes à peine un nombre incalculable d’informations privées vont lui être dévoilées par l’intermédiaire de son odorat et ça elle ne le supporte pas car elle n’aime pas rentrer dans la vie des autres.
En outre, Malia a aussi un autre petit problème lié à son pouvoir et qu’elle qualifie de « trouble physique », car dès qu’elle a peur ou qu’elle sent une odeur alléchante, la jeune fille commence à muter en tigresse mais ce qu’au niveau des yeux. Cela peut donc paraître étrange mais c’est un tic qu’elle ne peut contrôler, ça vient tout seul et elle se retrouve donc humaine mais avec les yeux aux pupilles d’un bleu pâle étrange. Heureusement pour elle que son animal a les yeux pratiquement identiques aux siens sinon cela l'handicaperait encore plus.

► TES DONS : Dire qu’avant Malia était de l’autre côté du miroir… Une de celles qui plaignaient les mutants et qui avaient peur de leur puissance sans pourtant en être dégoûtée contrairement à la plupart des humains. Face à ce renversement de situation, il est certain que l’on ne peut rien prévoir à l’avance.
Ainsi, la jeune fille est devenue l’une des leurs, une animorphe capable de se changer en tigre blanc sans toutefois avoir accès aux autres espèces animales. Elle est donc représentée par ce fauve qui à la base n’était d’ailleurs pas son favoris parmi tous ceux qui peuplent le monde d’aujourd’hui. Cependant, il faut avouer qu’après avoir vécu trois ans littéralement dans la peau de ce grand félin, elle s’est mise à l’apprécier énormément et jamais elle ne ferait le vœux de changer de nature. En effet, une fois transformée, la jeune fille respire le grand air, des fois agacée par les bruits alentours qu’elle perçoit plus forts que les autres personnes, elle parvint pourtant la majeure partie du temps à en faire abstraction. Heureusement pour elle qu’elle y arrive, sinon elle serait aussi gênée sous sa forme habituelle puisqu’il faut savoir que la jeune fille possède aussi une audition et un odorat plus sensible même humaine. Apparemment cela serait due au fait qu’elle soit très fusionnelle avec son animal et qu’elle parvienne donc à garder certaines de ses capacités une fois revenue normal, mais personne n’en est absolument certain.
Son don est donc très complexe et pour ne rien arranger il existe aussi certaines conditions pour se métamorphoser qu’elle n’arrive à maîtriser de façon convenable que depuis quelques mois. A savoir, le fait d’arriver à contrôler ses émotions et de ne pas se laisser submerger par l’instinct animal ce qui n’était vraiment pas gagné au début et qui est toujours en voie d’amélioration maintenant. Concernant ses vêtements, il y avait aussi à redire puisque Malia à la base devait obligatoirement les enlever avant tout changement pour ne pas risquer de les réduire en lambeaux une fois le processus achevé. A présent, elle peut les garder mais c’est à ses risques et périles car si sa métamorphose vient de manière voulue et tranquille, ils seront considérés comme « greffés » à elle et donc conservés mais si elle se transforme en urgence il se peut qu’il y ait quelques dysfonctionnement et que ses habits soient déchirés au passage. En somme, il reste donc encore pas mal de travail à la jeune fille pour tout canaliser et ne pas faire de choses « imprévues ». Toutefois, comme tout don, celui de Malia a aussi ses limites et la jeune fille reprend donc automatiquement son apparence humaine quand elle est blessée, qu’elle dort ou qu’elle se fait assommer - et oui ça peut arriver sait-on jamais. Aussi, même si elle a la faculté de ne changer que ses yeux et de stopper la transformation pour le reste de son corps, elle ne peut pas le faire pour ses autres membres, donc vous ne lui verrez pas pousser des poils sur les bras et des griffes avec le reste de son anatomie restée humaine, c’est impossible. Et si certain se pose la question, oui elle peut parler avec les animaux mais seulement sous sa forme féline car elle devient alors l’une des leurs et qu’avec ceux de son espèce, les autres elle eut beau essayé à maintes reprises, elle n’a rien compris de leur langage.

Dernière semaine de Novembre 2007,

Assise près du feu, le menton appuyé sur ma main, je regardai par la fenêtre tout en repensant à grand-mère. Elle qui avait toujours été si gentille avec moi et même avec Erin ma petite sœur, pourquoi avait-elle été emportée si vite. Inconsciemment, je me souvins de l’odeur des gâteaux qu’elle nous préparait tous les jours et de l’atmosphère conviviale de sa petite maison au coin de la troisième rue. Tout semblait si lointain et pourtant cela ne faisait qu’une semaine que la pauvre était décédée et en y réfléchissant bien cela faisait aussi une semaine jour pour jour que je vivais comme un zombie, attristée de ne plus la sentir à mes côtés. Pourquoi étais-je aussi touchée ? Et bien déjà parce qu’il s’agissait de ma grand-mère et comme toute personne de ma famille j’y étais attachée mais aussi et surtout parce qu’il s’agissait de celle qui m’avait élevée. Notre village étant perdu en plein milieu de la forêt, mes parents devaient partir loin pour aller travailler et ainsi n’avaient que peu de temps à nous consacrer à moi et ma sœur. J’avais donc vécu le plus souvent avec ma grand-mère Maria qui nous avait traité comme ses propres filles. A présent et au vu mon état, je me demandai qu’est-ce qu’allaient devenir mes journées. Allais-je devoir prendre soin moi-même d’Erin ? Ne pourrait-on plus jamais revenir dans la maison qui nous avait vu grandir ? Nombre de questions qui se bousculaient dans ma tête et qui m’avait empêchée de voir la neige arriver. Ce sont donc les cris de ma sœur revenant de l’école qui m’annoncèrent que l’hiver avait débuté et avec lui les bourrasques de neige qui allaient nous couper du monde pendant plusieurs mois…Situé dans le nord de la Russie, notre petite bourgade se retrouvait ensevelie sous la poudreuse tous les hivers et ne disposait que de peu de jours de soleil en décembre. Rien que le fait d’y penser m’avait rendue encore plus triste que je ne l’étais déjà…

Le soir, je me couchai tôt pour pouvoir aider mes parents à déneiger le lendemain matin notre jardin où était garée la voiture afin qu’ils puissent reprendre la route vers leur lieu de travail car ils n’avaient pas pu prendre un congé plus long ; juste quelques jours le temps que grand-mère puisse être enterrée et qu’ils aient les idées plus claires…

Le lendemain, c’est toujours d’une attitude morne que je sortis de mon lit et descendis les marches de l’escalier pour rejoindre le reste de la famille à la cuisine. En passant devant la chambre de ma sœur, je perçus sa respiration lente qui m’avertit qu’elle n’était pas encore réveillée. Aussi, je décidai de marcher sur la pointe des pieds pour la laisser dormir encore un peu.
Arrivée à la porte de notre cuisine, je m’arrêtai préoccupée par l’odeur alléchante des crêpes qui m’avaient semblées être préparées selon une nouvelle recette. En effet, mon nez me disait que maman avait mis plus d’œufs que d’habitude ou du moins plus qu’il n’en fallait pour accompagner la dose de farine.

« Tu as testé une nouvelle recette ? »

Observant le regard interrogateur de ma mère, je ne pus m’empêcher de lui faire un sourire pour la rassurer.

« Non, j’ai tout fait de la même façon que d’habitude. Pourquoi, elles ont un parfum étrange ? »

N’osant plus rien dire, je lui fis un signe de tête pour lui assurer que tout allait bien mais quand elle déposa les fameuses crêpes sous mon nez, je ne pus maîtriser un petit retroussement de nez. Décidément, ces crêpes sentaient vraiment l’œuf ! Ca me chatouillait les narines, c’était horrible…
Faisant comme si de rien n’était, j’avais pris mon déjeuner rapidement pour ne pas faire traîner en longueur ce supplice et pris la direction de la salle de bain en vitesse pour ne pas me la faire voler. A peine, eus-je ouvert l’eau qu’un bruit à vous rendre sourd remplit ma tête me rendant incapable du moindre mouvement. Je parvins après quelques minutes à me calmer et à atteindre le robinet. Une fois celui-ci fermé, je respirai un bon coup tout en me demandant ce qui se passait. Malheureusement, il n’y avait pour moi aucune explication, peut-être étais-je trop fatiguée et mes sens déraillaient, je n’en savais rien et franchement ça commençait à me faire peur.
La suite de la journée, ne fut que pire. Je n’étais toujours pas arrivée à comprendre ce qui m’arrivait et à chaque voiture qui passaient près de la maison, j’entendais une suite de bourdonnements qui me rendait folle. Heureusement pour moi, mes parents ne s’étaient aperçus de rien et étaient partis le sourire aux lèvres - certainement pour faire bonne figure…
M’asseyant sur le canapé pour souffler quelques instants, je levai les yeux vers la cheminée pour admirer les ondulations du feu. Voyant que celui-ci s’éteignait à mesure que les minutes passaient, je décidai de me lever et d’aller chercher du bois dans la forêt puisque mon père m’avait prévenu qu’il n’en restait plus en réserve. Aussi, c’est après avoir crié du bas des escaliers à ma sœur où j’allais pour ne pas qu’elle s’inquiète inutilement, que je pris mes gants et ma veste pour traverser la neige qui continuait de tomber inlassablement.
A peine entrée dans la forêt, je m’arrêtai près des troncs que notre voisin avait déjà coupé et qui servaient habituellement à tout le village en cette période de froid. Je m’approchais donc et portais la scie sur le bois pour ne prendre que de petits rondins qui me seraient largement suffisants quand j’entendis un coup de feu qui semblait venu de tout près d’ici. Immédiatement, pour protéger mon ouïe, j’avais porté mes mains à mes oreilles et m’étais accroupie les yeux fermés, paniquée et par ce bruit monstre.
En recouvrant mes esprits, je me sentie toute chaude comme malade et affreusement lourde. Abasourdie, je me relevai difficilement et sentis derrière moi quelque chose de collé à mon dos qui ne faisait que bouger et m’énervai au plus haut point. Tournant la tête, je rouvris les yeux et fus déjà surprise pas ma vue qui semblait beaucoup plus nette et claire puis par ce que je vis sur mon dos. J’avais une queue ! une queue vous vous rendez compte ? Enfin, pas une de celle qui sont en peluche et qu’on met pour le carnaval ; non une vraie queue toute tigrée noire et blanche et le plus étonnant qui était rattachée à mon dos recouvert de poils longs et à l’aspect animal.
Face à cette découverte, je ne rendis pas tout de suite compte que j’étais dans la réalité et pas dans un rêve comme j’étais en train de me l’imaginer. Aussi, c’est après avoir assimilé que mon esprit était à l’intérieur d’un tigre blanc – qui était en fait mon propre corps après métamorphose - que je commençai à réaliser le pétrin dans lequel je m’étais mis et l’horreur que je vivais. La panique commençant à arriver, je ne parvenais plus à contrôler mes mouvements et reculais comme si j’étais repoussée par une odeur nauséabonde.
Alertée par des bruits de pas, j’allais pour partir en courant mais mes muscles ne voulaient pas me répondre tellement la peur avait pris le dessus. Je me retrouvai alors comme je le craignais devant un homme que je reconnu comme mon voisin. Ce dernier, le fusil à la main, sembla terrifié à ma vue et pointa son arme contre moi avant de tirer la gachette. En une seconde, la balle partit et je n’eus que le temps de glisser sur le côté commandée par mon instinct pour ne pas recevoir le coup en pleine tête. Au lieu de ça, je fus effleurée à l’épaule et redevint moi-même en quelques secondes sous les yeux médusés du chasseur. Me couvrant de mon manteau puisque mes vêtements avaient été détruits lors de ma transformation, je levais les yeux vers mon voisin dans l’espoir qu’il vienne m’aider car je perdais beaucoup de sang. En guide de réponse, celui-ci leva de nouveau son arme vers moi comme pour me prévenir de ne pas faire un seul mouvement.
Par la suite, plusieurs villageois qui avaient entendu le coup de feu, vinrent nous encercler et certains d’eux poussèrent des cris en me voyant. Au bout d’un certain temps, je compris qu’ils n’avaient pas peur de moi mais en fait de mes yeux qui étaient restés ceux du fauve et que je n’arrivais pas à maîtriser à cause de la peur. Comme je les connaissais, ils devaient certainement me prendre pour Dracula, un loup-garou ou je ne sais quoi d’autre. Blessée et laissée sans aide comme un animal de cirque, je dus sûrement m’évanouir plusieurs jours car je ne me souviens plus de ce qui s’est passé ensuite, mes souvenirs se poursuivent alors que j’étais dans mon lit, chez moi, avec mes parents que j’entendais discuter à l’étage en dessous. Comprenant que là aussi qu’il s’agissait de ce don mystérieux qui m’avait fait devenir un fauve, j’en profitai et tendis davantage l’oreille pour savoir quel était le but de la conversation. C’est là que je sus que les humains étaient en fait des personnes sans intelligence, en proie à toute forme de folie et faible qui plus est. En effet, ceux qui se faisaient appeler mes parents étaient en train de choisir entre m’envoyer dans un asile là où ils seraient sûres de ne plus jamais me revoir ou entre le fait de m’abandonner en pleine forêt loin d’ici et surtout loin de toute civilisation. Terrifiée par toutes ses paroles qui parvenaient à mes oreilles, je décidai alors de fuir le soir même après avoir regardé ou en était ma blessure. Aussi, la seule chose intéressante que je tirai de leur conversation fut le mot « mutant », voilà ce que j’étais, une mutante… et pour tout vous dire fière de l’être.

Ce fut ainsi que commença ma vraie vie. Devançant mes parents, je pris la route après avoir volé leur voiture et me rendis loin de la Russie. Premièrement en Roumanie où je restai un bon moment et parvint à apprivoiser ce don, puis en France et enfin en Amérique où j’appris qu’il existait une école spéciale pour les gens comme moi, les mutants. N’ayant pas la même idéologie et la même amitié que monsieur Charles Xavier envers les humains qui étaient devenus à mes yeux des êtres lâches et dénués de tout raisonnement, j’optai alors pour les bâtiments de la Confrérie où j’apprends encore maintenant à me perfectionner et à découvrir tout de mes facultés.



(Désolée pour le nombre de lignes, j'ai peut-être un peu abusé XD)

PRÉNOM : Sarah SURNOM : eu... j'en ai pas vraiment à part sassa qui est le plus courant... AGE : 18 ans et toutes mes dents SEXE : Féminin COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM? : Sur un top site je crois... FRÉQUENCE DE CONNEXION : Environ trois fois par semaine en ce moment mais presque tous les jours quand je serais en vacances^^ QUELQUE CHOSE A AJOUTER? : Vous avez un forum magnifique, j'ai flashé dessus dès que je l'ai vu ! CODE RÈGLEMENT : OK